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  • : Le blog de madabiliro
  • : A la rencontre des Malgaches et de leur culture
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  • insomnie et si...
    Dernière nuit malgache... insomnie.. est ce le café ? Ou la fatigue du voyage ou les douces émotions qui nous ont fait battre le coeur, les rencontres sur l'île rouge, sans doute un peu de tout cela, mais il y a Paris la lugubre, ville ensanglantée. Je...
  • 15 novembre
    Nous avons prévu aller à la messe du Père Pedro à Akamasoa. On nous dit que c'est le matin vers 8h 30 et qu'elle se termine vers 11 heures 30, sachant que le Père Pedro n'y serait pas présent. Nous partons à 10 h mais en arrivant à 10 h 50, la messe était...
  • 320 kms - et de la chaleur et...
    Toute la journée se passe en voiture, sous la chaleur. Andry nous amène jusqu'à Maevatanana, la ville la plus chaude de Madagascar. Dans cette région, des chercheurs d'or, mais tout le monde n'y fait pas fortune car nous ne remarquons pas de grandes maisons...
  • Une plantation de cacaoyers et une distillerie
    la distillerie des huiles essentielles _ l'ylang-ylang le cacaoyer : ses fleurs, la cabosse, les fèves,la plantation, les jeunes plans sous les bananiers, le séchage... Ambanja. Après avoir dormi à Ankify, non sans avoir piqué une tête dans le canal du...
  • Les Tsingy Rouges
    Les tsingy rouges Après 4 nuits passées à Ramena, nous nous dirigeons vers les Tsingy Rouges. Première vue d'un belvédère : Grandiose ! Sublime ! ou encore d'autres superlatifs... Voilà juste un petit aperçu du site ... et appuyez sur le bouton "rêve"...
  • Ramena
    Maquillage à Ramena Nous nous installons dans nos nouveaux bungalows : c'est tellement bien que nous décidons d'y rester une nuit supplémentaire. Dès le réveil, nous pouvons admirer la mer et ses couleurs matinales variant du bleu au vert. Nous prenons...
  • De Diego à Ramena
    Nous quittons Diego en quad pour découvrir les "trois baies", en passant par les chemins sablonneux. Beau spectacle, paysage à couper le souffle (surtout à cause du vent!), un endroit privilégié pour les kitesurfeurs. Nos maris nous laissent à Ramena...
  • D'Ankarana à Diego
    le jacque ou pomme de jacque : le fruit du jacquier - Diego Suarez ou Antsirana Ce jour, 6/11, la route a été encore longue, enfin route ??? revêtement en très mauvais état. C'était chaotique ! Nous nous arrêtons pour déguster un drôle de fruit : le Jacque,...
  • Parc National d'Ankarana
    le parc d'Ankarana et les tsingy La journée du jeudi 5 Novembre est consacrée à la découverte du Parc National d'Ankarana. William, notre guide, nous fait découvrir les arbres et divers animaux de la forêt avant de nous dévoiler le spectacle grandiose...
  • Longue route de Majunga à Ankarana
    Après la visite de l'école, nous reprenons la route qui sera longue, sous la chaleur.Quelques arrêts pour rencontrer des familles toujours surprises de notre approche.Quelques savons à distribuer ou des vêtements d'enfants. Deux jours pour arriver à notre...
13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 07:07

27 et 28/09

Après être restés tranquillement une journée complète à Morondava, nous nous laissons emmener vers Belo sur Mer, un village réputé pour la construction de boutres (bateaux traditionnels à voile qui servent à la pêche). Rien à voir avec les chantiers navals de St Nazaire ; là, tout est fait à la main ; pas d'énergie électrique pour faire fonctionner les scies. Les clous  sont aussi de fabrication artisanale. Pas moins de 18 mois à deux ans pour donner vie à un boutre.

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Les eaux du Canal du Mozambique sont chaudes et claires, propices à la baignade. Nous sommes installés à l'Ecolodge du Menabe dans des chambres avec terrasses sur pilotis, les pieds dans l'eau. Nous ne nous lassons pas d'admirer le va-et-vient des pirogues ou des bâteaux partant ou revenant de la pêche. Le vent gonfle les voiles, le soleil les éclaire créant un jeu de couleurs se reflétant dans la mer... Un spectacle qui nous ravit  !

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Nous déjeûnons chez Lova où nous apprécions les barracudas ou encore les brochettes de mérou.

Et comme tout ne peut pas être parfait, après le repas du premier jour... la voiture s'enlise dans le sable. Beaucoup de bonnes volontés pour nous tirer de là. Il y a une réparation à faire (ici, pas de garagiste ; Andry répare la pièce...)

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L'aventure se poursuit ; le lendemain  (29/09),6 à 7 heures de piste. Nous nous arrêterons visiter les salines (les ouvriers y travaillent dur avec des cadences accélérées pour porter, sous un soleil brûlant,  des sacs de 50 kgs de sel) et  admirer d'autres baobas dans le jardin botanique. Nous ferons une halte à Manja dans le seul hôtel de la ville, ville où une nouvelle fois nous sommes confrontés aux difficiles conditions de vie des Malgaches. Mais, là-bas, inutile d'avoir des jouets achetés très chers sur  Internet ou dans les grands  magasins, les enfants sont créatifs et la rue est leur terrain de jeux.

 

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